Le bureau de l’expertise technique et industrielle est organisé par spécialités techniques : nucléaire civil, procédés et produits chimiques, technologies embarquées liées à l'aéronautique / spatial / naval, matériaux spéciaux et équipements associés, utilités industrielles, optronique, électronique... Les dossiers relatifs aux biens et technologie de cryptologie sont instruits non pas par le bureau technique mais par l’ANSSI (environ 30% des 4000 dossiers).
Ainsi, sous l’autorité du chef du service, le titulaire du poste :
- assure la direction du bureau de l’expertise technique, fort de 7 cadres A et A+ et d’un agent administratif, et le pilotage des processus d'instruction technique du service, en lien avec l’interministériel ;
- est garant de la performance opérationnelle du bureau ;
- apporte au service et au bureau de l’expertise technique son expertise acquise appliquée aux métiers du contrôle ;
- assiste le chef de service dans l'exercice de ses missions opérationnelles, relationnelles, managériales et décisionnaires.
Il travaille étroitement avec les ministères directement concernés par les enjeux de non prolifération et de politique extérieure, notamment les ministères en charge des affaires étrangères, de la défense, de l’intérieur, des douanes ainsi qu'avec les partenaires étrangers, notamment européens. Il pilote la participation du service aux travaux des régimes internationaux de contrôle: Arrangement de Wassenaar (électronique, informatique, télécommunications, matériaux, machines), NSG (nucléaire), MTCR (missiles), groupe Australie (chimique et biologique). Il participe aux échanges européens sur la prise en compte des technologies émergentes dans le dispositif international de lutte contre la prolifération. Il a vocation à être désigné directeur de projet pour les projets relevant du champ de compétence du bureau. Ce poste s’adresse à un ingénieur de bon niveau technique, ouvert aux relations avec les entreprises et motivé par les enjeux à la fois régaliens, stratégiques et commerciaux qui s’attachent à cette activité. Des déplacements en province et à l’étranger sont à prévoir.
Les qualités personnelles recherchées sont la rigueur, l’autonomie et la résistance à la pression (flux de demandes continu, enjeux industriels sous-jacents). De bonnes aptitudes relationnelles sont nécessaires, ainsi qu’une capacité d’animation et de travail en équipe et, enfin, d’un sens de l’organisation et des priorités.
Une base scientifique et technique généraliste est souhaitée. L’apprentissage des problématiques du contrôle (lutte contre la prolifération des armes de destruction massive) pourra être dispensé dans le cadre d’une formation spécifique.
Une connaissance préalable du contrôle d’entreprises (nucléaire, installations classées) serait un plus.
La pratique de l’anglais courant et technique est nécessaire.
Ainsi, sous l’autorité du chef du service, le titulaire du poste :
- assure la direction du bureau de l’expertise technique, fort de 7 cadres A et A+ et d’un agent administratif, et le pilotage des processus d'instruction technique du service, en lien avec l’interministériel ;
- est garant de la performance opérationnelle du bureau ;
- apporte au service et au bureau de l’expertise technique son expertise acquise appliquée aux métiers du contrôle ;
- assiste le chef de service dans l'exercice de ses missions opérationnelles, relationnelles, managériales et décisionnaires.
Il travaille étroitement avec les ministères directement concernés par les enjeux de non prolifération et de politique extérieure, notamment les ministères en charge des affaires étrangères, de la défense, de l’intérieur, des douanes ainsi qu'avec les partenaires étrangers, notamment européens. Il pilote la participation du service aux travaux des régimes internationaux de contrôle: Arrangement de Wassenaar (électronique, informatique, télécommunications, matériaux, machines), NSG (nucléaire), MTCR (missiles), groupe Australie (chimique et biologique). Il participe aux échanges européens sur la prise en compte des technologies émergentes dans le dispositif international de lutte contre la prolifération. Il a vocation à être désigné directeur de projet pour les projets relevant du champ de compétence du bureau. Ce poste s’adresse à un ingénieur de bon niveau technique, ouvert aux relations avec les entreprises et motivé par les enjeux à la fois régaliens, stratégiques et commerciaux qui s’attachent à cette activité. Des déplacements en province et à l’étranger sont à prévoir.
Les qualités personnelles recherchées sont la rigueur, l’autonomie et la résistance à la pression (flux de demandes continu, enjeux industriels sous-jacents). De bonnes aptitudes relationnelles sont nécessaires, ainsi qu’une capacité d’animation et de travail en équipe et, enfin, d’un sens de l’organisation et des priorités.
Une base scientifique et technique généraliste est souhaitée. L’apprentissage des problématiques du contrôle (lutte contre la prolifération des armes de destruction massive) pourra être dispensé dans le cadre d’une formation spécifique.
Une connaissance préalable du contrôle d’entreprises (nucléaire, installations classées) serait un plus.
La pratique de l’anglais courant et technique est nécessaire.