Le (la) chef(fe) de projets pilote les projets de la sous-direction au sein d’équipes-projets dédiées. Il(elle) a vocation à être polyvalent et peut être mobilisé sur des domaines qui ne relèvent pas exclusivement de son expertise initiale. Il(elle) peut aussi travailler en transversalité, dans les équipes des autres sous-directions et des autres services, en fonction de ses domaines de compétences. Un projet dure en moyenne entre 6 et 12 mois.
A sa prise de fonction le (la) chef(fe) de projets « Aides aux entreprises innovantes, soutien aux start-ups et développement des talents » aura la charge, en particulier, des projets suivants :
- Piloter et coordonner le comité de pilotage ministériel « innovation et startups ». A ce titre, il(elle) élabore et défend les positions de la DGE sur les aides aux entreprises innovantes financées par France 2030 ; il(elle) participe à la construction des outils et de la gouvernance du prochain PIA et à la réflexion sur l'évolution des dispositifs existants d'aides structurelles à l'innovation (concours d’innovation, aides guichet, i-demo, première usine, pôles universitaires d'innovation) ; il (elle) propose, construit et met en œuvre les politiques publiques portées par la DGE en faveur des startups, en lien étroit avec la Mission French Tech. Il (elle) assure le suivi et la mise en place des mesures visant à soutenir les startups et à assurer leur développement rapide.
- Piloter les consultations et études sur le volet capital humain des politiques d’innovation. Il(elle) définit les objectifs et la méthode et mobilise les partenaires publics (administrations statistiques, directions d’administration et opérateurs de l’Etat) et privés afin de conduire des analyses permettant notamment de renforcer l’état des connaissances sur l’emploi dans les startups et les problématiques de formation ; il(elle) propose des évolutions des objectifs en matière de formation et de nouvelles actions en vue de répondre aux besoins en recrutement des startups et entreprises industrielles positionnées sur des filières émergentes.
- Piloter la conception et la mise en œuvre des mesures renforçant l’attractivité de l’écosystème d’innovation français vis-à-vis des talents étrangers (salariés recrutés par une start-up, entrepreneur, investisseur). Il (elle) propose en lien avec la DG Trésor, le ministère de l’intérieur et le ministère de l’Europe et des affaires étrangères des évolutions règlementaires ou des actions de communication visant à favoriser l’immigration professionnelle qualifiée ; A ce titre, il (elle) pilote la mise en œuvre de l’instruction des titres de séjour pour motif économique dont la DGE est responsable (French Tech Visa) et les missions des opérateurs (Business France).
Doté d'une aisance relationnelle, d'une bonne maîtrise de l’environnement administratif et de connaissances fondamentales sur les politiques économiques, le titulaire du poste doit être à même d'évoluer en autonomie et d'être force de propositions pour lancer de nouvelles actions de mobilisation vers des acteurs variés. Il dispose au moins d'une première expérience professionnelle, préférentiellement dans une administration centrale ou un opérateur de l’Etat.
Le titulaire du poste sera amené à interagir avec des interlocuteurs de haut niveau au sein des administrations centrales (SGPI, DGRI, CGDD, MEAE, Minint, DGEFP, etc.), des cabinets ministériels, d’opérateurs de l’Etat (BPI, Ademe, Business France) et d’entreprises, en particulier des startups
A sa prise de fonction le (la) chef(fe) de projets « Aides aux entreprises innovantes, soutien aux start-ups et développement des talents » aura la charge, en particulier, des projets suivants :
- Piloter et coordonner le comité de pilotage ministériel « innovation et startups ». A ce titre, il(elle) élabore et défend les positions de la DGE sur les aides aux entreprises innovantes financées par France 2030 ; il(elle) participe à la construction des outils et de la gouvernance du prochain PIA et à la réflexion sur l'évolution des dispositifs existants d'aides structurelles à l'innovation (concours d’innovation, aides guichet, i-demo, première usine, pôles universitaires d'innovation) ; il (elle) propose, construit et met en œuvre les politiques publiques portées par la DGE en faveur des startups, en lien étroit avec la Mission French Tech. Il (elle) assure le suivi et la mise en place des mesures visant à soutenir les startups et à assurer leur développement rapide.
- Piloter les consultations et études sur le volet capital humain des politiques d’innovation. Il(elle) définit les objectifs et la méthode et mobilise les partenaires publics (administrations statistiques, directions d’administration et opérateurs de l’Etat) et privés afin de conduire des analyses permettant notamment de renforcer l’état des connaissances sur l’emploi dans les startups et les problématiques de formation ; il(elle) propose des évolutions des objectifs en matière de formation et de nouvelles actions en vue de répondre aux besoins en recrutement des startups et entreprises industrielles positionnées sur des filières émergentes.
- Piloter la conception et la mise en œuvre des mesures renforçant l’attractivité de l’écosystème d’innovation français vis-à-vis des talents étrangers (salariés recrutés par une start-up, entrepreneur, investisseur). Il (elle) propose en lien avec la DG Trésor, le ministère de l’intérieur et le ministère de l’Europe et des affaires étrangères des évolutions règlementaires ou des actions de communication visant à favoriser l’immigration professionnelle qualifiée ; A ce titre, il (elle) pilote la mise en œuvre de l’instruction des titres de séjour pour motif économique dont la DGE est responsable (French Tech Visa) et les missions des opérateurs (Business France).
Doté d'une aisance relationnelle, d'une bonne maîtrise de l’environnement administratif et de connaissances fondamentales sur les politiques économiques, le titulaire du poste doit être à même d'évoluer en autonomie et d'être force de propositions pour lancer de nouvelles actions de mobilisation vers des acteurs variés. Il dispose au moins d'une première expérience professionnelle, préférentiellement dans une administration centrale ou un opérateur de l’Etat.
Le titulaire du poste sera amené à interagir avec des interlocuteurs de haut niveau au sein des administrations centrales (SGPI, DGRI, CGDD, MEAE, Minint, DGEFP, etc.), des cabinets ministériels, d’opérateurs de l’Etat (BPI, Ademe, Business France) et d’entreprises, en particulier des startups