Travailler à la Direction générale des Entreprises

À la Direction générale des Entreprises (DGE), environ 200 métiers différents sont exercés par plus de 1 100 agents en administration centrale et dans les services régionaux.

Publié le : 04 sep 2024
© Kim Redler

Au service du ministre chargé de l’Économie et des Finances, la Direction générale des Entreprises est engagée dans les chantiers de l’État de transformation économique du pays. La DGE élabore des politiques publiques innovantes, au plus près de la réalité du terrain, qui accompagnent l’ensemble des entreprises françaises dans leur développement, des start-ups, TPE, PME aux grands groupes. Pour répondre aux besoins des entreprises ainsi qu’aux grands enjeux économiques, environnementaux et sociétaux, les agents de la DGE travaillent en transverse, fonctionnent en mode projet et adoptent une culture de l’impact.

Pourquoi rejoindre la Direction générale des Entreprises ?

Couvrant tout le champ des politiques publiques en faveur du développement, de la compétitivité et de l’innovation des entreprises françaises, la DGE interagit avec de multiples acteurs. L’étendue de son écosystème et de son périmètre d’action offre aux agents des perspectives d’évolution professionnelle diversifiées et enrichissantes.

Un fonctionnement en mode projet innovant

Au sein des services, chaque sous-direction a un portefeuille de projets structurants dans son périmètre d’action. Les équipes-projets sont placées sous la responsabilité de directeurs de projets. Elles bénéficient d’un accompagnement via des formations et sessions de coachings internes visant à déployer de nouvelles méthodes de travail et développer la culture de l’impact. Ces innovations managériales permettent à la DGE d’offrir un niveau de responsabilité important à ses agents, dont la montée en compétence est encouragée et soutenue.

L’organisation en mode projet permet de mettre en place une réponse rapide à une commande urgente. Par exemple, une équipe-projet composée de six entités a pu concevoir en six mois les feuilles de route des 50 sites industriels les plus émetteurs de CO2, en co-construction avec les industriels.

Cette organisation permet aussi de concevoir et déployer des politiques publiques jusqu’au dernier kilomètre en favorisant un dialogue entre l’administration centrale et les services déconcentrés. Par exemple, le projet ETIncelles (accompagnement de PME de croissance pour devenir ETI) a été réalisé grâce à la connaissance fine des entreprises locales par les Services économiques de l’État en région (SEER).

Une politique de ressources humaines qui favorise les carrières des agents

La DGE offre des parcours de carrières dynamiques : elle valorise les compétences et la performance de ses agents. À leur arrivée, un dispositif d’accueil renforcé leur est proposé, suivi d’un parcours personnalisé (accompagnement, formation, programmes de développement, etc.) par des conseillers mobilité carrière dédiés. La politique de bonus est généralisée pour l’ensemble des cadres, contractuels comme titulaires.

Un environnement de travail tourné vers l’humain

La DGE mène une politique active et volontariste en matière d’égalité femmes-hommes.

Organisés en équipe-projet, des agents volontaires de la direction ont élaboré une feuille de route éco-responsable dont ils assurent le suivi quotidien.

La Direction générale des Entreprises encourage ses agents à participer aux moments de convivialité et événements sportifs organisés en interne. Une zone de restauration et des salles de convivialité sont mises à disposition dans les locaux de la direction. Des cours collectifs sont organisés tout au long de la semaine en lien avec le Club sportif du ministère des Finances (CSMF), qui propose aux agents du ministère des tarifs particulièrement avantageux.

Suivez-nous sur les réseaux sociaux et Abonnez-vous à notre lettre d’information